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Nouvelles

Les nouvelles actives sont postérieures au 20/12/2015 - 00h00
Les nouvelles antérieures sont consultables dans les  Archives des nouvelles

Voir l'interview. Le CEA [a organisé le] jeudi 10 avril une journée dédiée à la valorisation de la recherche. A cette occasion, l’administrateur général de cet organisme, Bernard Bigot, nous a présenté sa vision sur la politique industrielle volontariste qui devrait à ses yeux prévaloir dans le secteur de l’énergie.

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Un nouvel article vient d'être mis sur le site : Le gouvernement va t-il brader l’hydroélectricité ?

Le statut de Société anonyme d’EDF (depuis 2004) fait entrer le renouvellement des concessions hydrauliques dans le droit commun des délégations de service public, strictement encadrées tant par le droit national, que par le droit de l’Union européenne. Et cet encadrement impose une application stricte du droit de la concurrence.
Néanmoins, la France, qui possède la plus grande puissance hydroélectrique installée en Europe, serait la seule à ouvrir ainsi à la concurrence l’exploitation d’un bien national hautement stratégique, notamment pour compléter l’intermittence des énergies renouvelables.
Les députés Marie-Noëlle BATISTEL (Députée PS de l’Isère) et Eric STRAUMANN (Député UMP du Haut-Rhin) ont rédigé un rapport d’information (N°1404) déposé par devant la Commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale et publié le 7 octobre 2013.
Patrick MICHAILLE a fait la synthèse de ce rapport, qui exprime les enjeux de l’hydroélectricité et explore d’autres voies possibles pour garder une maîtrise nationale de l’exploitation de nos centrales.

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Dans son discours d’ouverture prononcé au 2ème Séminaire de l’École de Physique des Houches de février 2014, Y. Brechet n’hésite pas à rappeler quelques conséquences sociales des choix en faveur des énergies renouvelables intermittentes, et dénonce « l’effet opéra » : le ticket d'opéra étant lourdement subventionné sans être accessible à toute la population, cela crée une situation où les plus pauvres subventionnent les loisirs des plus riches ! Il propose des principes méthodologiques pour évaluer les différents mix énergétiques possibles.

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Un article inspiré par un document édité conjointement par la Direction générale du Trésor et le Commissariat général au développement durable.

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Coûteux à milliards, perte de milliers d’emplois, désindustrialisation de l’Alsace, l’arrêt de Fessenheim s’annonce comme un énorme gâchis ! Article
Valérie Faudon, déléguée générale de la SFEN, va remplacer Bertrand Barré au CA de SLC.

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GASN/Logos/logo_energ1a.gifFiche mise à jour / Posté - le 19/01/2014 - 15h44

Un fiche argumentaire du GASN vient d'être mise à jour sur le site : Le réacteur Jules Horowitz

 

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14 Janvier 2014
La Cour administrative suprême allemande a statué. La fermeture forcée de la centrale nucléaire de Biblis (appartenant à RWE) après l'accident de Fukushima était illégale.
L'entreprise est maintenant susceptible de demander des dommages-intérêts considérables.
La décision pourrait créer un précédent pour l'arrêt des autres réacteurs. La réaction de l'Allemagne à l'accident de Fukushima en 2011 fut extrême. La chancelière Angela Merkel avait pris deux décisions : l'une fut d'ordonner l'arrêt de huit unités ayant commencé à fonctionner avant 1980 pour une période (moratoire) de trois mois. Ces unités ne furent ensuite pas autorisés à redémarrer. Sans consultation, les ordres ont été exécutés par les länders allemands qui abritent les réacteurs .
Aujourd'hui, le länders de Hesse a dit qu'il avait agi illégalement en faisant appliquer les décisions relatives à la centrale nucléaire de Biblis situé dans ce länder.
La décision de la Cour administrative suprême de Leipzig est juridiquement contraignante et ne peut pas être portée en appel. Il soutient une décision prise l'an dernier par le tribunal administratif de Hesse, qui a été portée en appel par le gouvernement fédéral.
Forcer les fermetures étaient " officiellement illégale car [ RWE ] n'avait pas été consulté etcela constituait une erreur de procédure ", a déclaré le tribunal.
RWE, propriétaire de la centrale, peut désormais demander réparation de son manque à gagner. L'usine dispose de deux réacteurs, Biblis A et B, qui sont des réacteurs à eau sous pression de 1167 MWe et 1240 MWe et qui avait été autorisée à fonctionner jusqu'en 2016 et 2018.
La société a subi des pertes de plus de 1 milliard € (1,3 milliard de dollars) dans la seule année 2011 en raison de l'arrêt de Biblis. Les mêmes ordres d'arrêt ont frappé d'autres  opérateurs nucléaires en Allemagne tels que Eon, Vattenfall et EnBW (bien que EnBW soit détenue à 45% par le länder gouverné par les Vert de Bade-Wurtemberg et qu'elle ne conteste pas l'arrêt qui a confirmé la taxe sur les carburants).
EON et RWE conteste à la fois l'arrêt des centrales nucléaire et la taxe sur les carburants, que les juridictions allemandes ont soumis à la Cour de justice européenne. La société suédoise Vattenfall conteste l'arrêt et demande un arbitrage international.Collectivement, les services publics ont perdu 8336 MWe de capacité de production nucléaire en fermant Biblis A et B , Neckarwestheim 1, Brunsbuttel, Isar 1, Unterweser et Phillipsburg 1.
(Despite only starting operation built in 1984, Krummel was not brought back from long-term shutdown : Malgré un début de construction en 1984, Krummel n'a pas été réactivé après son arrêt prolongé. Traduction incertaine).

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logo_energ1a.gifNouvel article / Posté - le 21/12/2013 - 10h51

Une étude publiée par Sauvons le Climat. Voir également nos fiches sur l'énergie éolienne et l'hydrogène.

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