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Non seulement on leur fait payer cher leur électricité (le prix a doublé) mais en plus la pollution augmente ! L’auteur démonte les mécanismes pervers de l’accès prioritaire des énergies intermittentes au réseau, qui casse la rentabilité des turbines à gaz, et ne laisse place, pour pallier les déficits d’électricité, par manque de vent ou de soleil, qu’aux centrales à charbon, dont le prix mondial est bas.
Rappelons qu’avec 60 GW de puissance installée intermittente (éolien et photovoltaïque), l’Allemagne atteint la puissance des 58 réacteurs nucléaires français. Traduction d'un article du Spiegel

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